J'ai lu ses cahiers. Ce qui en ressort, c'est cette quête quasi permanente de la bouffe!! Les récits des batailles sont brefs. Par contre ceux du quotidien sont très instructifs et écornent pas mal l'image des armées impériales. Sa "relation" de la campagne de 1807 donne un éclairage particulier sur les relations entre les troupes françaises et les autochtones.
Pour l'anecdote, les raisons de son attachement au bonnet d'ourson méritent le détour : " on pouvait y planquer une bouteille de pinard" !
Les cahiers sont dispos sur Gallica